
La pression en mildiou est actuellement faible, aucune présence du pathogène n’a pour l’instant été observée, aussi bien sur tas d’écart de triage qu’en champ, note le Carah dans un avis du 22 mai. En plus du gel hivernal qui a permis de maîtriser de nombreuses repousses en champs, cela s’explique par les températures basses que nous avons connues depuis mi-avril et les conditions sèches qui n’ont pas permis le développement du mildiou.
Toutefois, les dernières pluies de la semaine passée ont permis des infections théoriques dont les sporulations sont prévues...
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