Sur le plan agronomique, la situation idéale est celle de l’incapacité du virus à se multiplier dans les cellules de la plante hôte : on dit alors que celle-ci est immune. C’est le cas de certaines variétés de pommes de terre vis-à-vis du virus Y. C’est une immunité en général dirigée par des gènes majeurs. L’identification de ces gènes serait d’une grande utilité pour la création de variétés résistantes.
Une autre situation est celle par laquelle le virus a la capacité de se multiplier dans une cellule (dès lors infectée) mais pas se...
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