
Voici quatre mois, le Covid-19 faisait sa joyeuse entrée dans notre quotidien, confineur confidentiel assignant à demeure une population déconcertée. Puis le virus s’en est allé papillonner sous d’autres cieux, contaminer des innocents, des insouciants, des imprudents, des imbéciles. Il a laissé chez nous en arrière-gardes quelques hordes bien armées, planquées en embuscade, histoire de nous embêter et nous obliger à rester sur nos gardes, quoiqu’il advienne. Il nous a interdit les gestes amicaux, les effusions d’amour et d’affection. Il est parvenu à gripper et mettre...
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