Bart De Wever, à Agribex: «Je veux tout mettre en œuvre pour que l’agriculture continue à prospérer dans ce pays»











Recevez Le Sillon Belge chaque semaine chez vous et bénéficiez d'un accès à tout le site : Articles, météo et cotations des marchés agricoles
Voir l'offre d'abonnement
Imaginez : vous prenez votre smartphone et tapez ou dictez l’intervention que vous venez de réaliser sur une culture ou un animal. En un rien de temps, l’information est enregistrée et vient s’ajouter à celles déjà renseignées au fil de la saison, pour être consultée à tout moment de la journée. C’est préci-sément ce que permet, entre autres, l’assistant virtuel Hector. Avec, à la clé, un gain de temps certain pour se consacrer aux travaux de la ferme ou, pourquoi pas, s’offrir un peu de liberté.

Simples ou préparés, les œufs, c’est impossible de s’en passer ! Avec une demande croissante pour ce produit, même si l’élevage wallon reste minoritaire par rapport à celui de nos voisins flamands, certaines exploitations ont réussi à se faire un nom dans le secteur. C’est notamment le cas de la ferme Bois du Roi. À sa tête : Vincent Lust, un agriculteur qui mise sur la qualité, sans faire l’impasse sur le bien-être animal et l’environnement. Un aspect primordial pour répondre notamment à la directive sur les émissions industrielles, dont la nouvelle mouture entrera bientôt en vigueur.

« C’est toujours quand il ne faut pas que ça arrive ». Souvent accompagnée d’un juron, cette phrase a fréquemment été prononcée dans les hangars, sur les champs… Que ce soit à la moisson, en saison ou le dimanche, le matériel nous joue parfois des tours. Alors, on se munit de son téléphone et on appelle son concessionnaire. Au bout du fil, quelqu’un qui doit comprendre et agir vite. L’occasion donc de découvrir cette profession indispensable qu’est le mécanicien agricole.

Quelques chemins serpentent entre les prairies gorgées d’eau. Miroitant dans les ornières, des peupliers ploient sous les rafales d’ouest. Au loin, les marais d’Harchies forment un damier d’étangs et de roselières. À la lisière du parc naturel des plaines de l’Escaut, les habitations s’avancent comme une île, posée sur un léger replat que le vent balaie sans relâche. Ici, la transition énergétique ne s’affiche pas en banderole, elle tourne lentement, dans le murmure du paysage depuis que Pierre Dubois a choisi de laisser le vent participer à la vie de son exploitation.

La prochaine édition d’Agribex se prépare… Malgré l’absence confirmée d’animaux, les palais de Brussels Expo se remplissent et les exposants seront au rendez-vous.







Lors de la cérémonie d’ouverture d’Agribex, Fedagrim a souhaité attirer l’attention du monde politique et, plus largement, du public sur certaines questions cruciales au sein du secteur agricole qui nécessitent une action urgente.

L’heure était à la satisfaction dimanche soir, à la clôture d’Agribex. L’optimisme général régnait au sein des représentants de Fedagrim, au moment de dresser un bilan de ce cru 2023. Avec une conclusion unanime : « Nous avons fait mieux que prévu ».

Depuis 2020, un nouveau président est à la tête du comité organisateur d’Agribex. Après une édition avortée en 2021, Tim Aerts vit actuellement son premier salon dans ses « habits présidentiels ». L’occasion pour nous de le rencontrer et d’en savoir plus sur son rôle.

Si Claude Van Den Abeele a opté pour John Deere Operations Center, François Dumonceau s’est, lui, tourné vers Agrirouter. Cette plateforme lui permet de faire circuler facilement les données entre les machines, et vers les différents logiciels utilisés sur la ferme.

L’agriculture de précision est un concept mis en avant lors de chaque salon agricole mais qui n’est pas si récent. L’échange des données ouvre de nouvelles possibilités en la matière. WalDigiFarm a rencontré deux utilisateurs expérimentés, dont Claude Van Den Abeele.
Abonnez-vous à Le Sillon Belge
Voir l’offre d’abonnement