Hélas, ce n’est pas le livre de Margaret Mitchell que j’aimerais évoquer mais l’envol moins romantique de semences de chardons quittant les accotements non entretenus et venant salir nos campagnes.
Les panneaux « fauchage tardif » fleurissent entourés d’une nature « préservée ? ». Prôner cette méthode et, en même temps, plaider la réduction des herbicides est totalement contradictoire.
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