« Mes premiers échanges avec les Belges remontent au Salon de l’agriculture de 2006 où j’y avais rencontré deux éleveurs. Je ne connaissais pas la Belgique. Nous avons alors commencé à créer des liens d’une part commerciaux et ensuite d’amitiés. D’échanges en échanges, nous avons fait la connaissance de nombreux autres éleveurs wallons. » Des relations qu’il aime entretenir car ils sont sur la même philosophie de travail que la France. « J’ai pu y constater une forte évolution de la qualité des limousines. Si en 16 ans le...
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