
Chacun a voix au chapitre, pour râler et dénoncer ce qu’il considère comme des injustices. Certains se taisent toute leur vie et encaissent : leurs gémissements ne sont que murmures, et personne ne les écoute jamais. Parfois, sur le tard, ces voix ténues prennent soudain du volume et crient leur révolte. Des voix de la terre, par exemple…
Une agricultrice de 60 ans, silencieuse au possible toute sa vie, m’a raconté la vexation de trop qu’elle dit avoir subie. Le concert de félicitations pour célébrer l’accès des conjointes-aidantes à la pension minimale fait...
Article réservé aux abonnés
Accédez à l'intégralité du site et recevez Le Sillon Belge toutes les semaines
Déjà abonné au journal ?
Se connecter ou Activez votre accès numérique