Déjà victime des conséquences de l’embargo russe sur les exportations agroalimentaires européennes, en vigueur depuis 2014 déjà, l’arboriculture fruitière belge fait également face à des normes croissantes en matière sociale et environnementale, entre autres. Depuis cette année, s’y ajoute la crise énergétique, source d’importantes difficultés, notamment suite à la flambée des coûts de conservation en frigo des fruits qui pousse fortement les coûts de production à la hausse.
La progression générale des coûts peut mener, in fine...
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