
L’UE est présidée depuis quelques jours par la Suède. Mais qui s’en émeut réellement, quel est, actuellement, le sens d’une présidence qui change de mains tous les six mois ? Dans ce cadre, l’antienne « c’était mieux avant » retrouve toute sa couleur, toute sa saveur.
Avant, c’était à la fin des années 50’, en 1958 plus précisément, soit l’année qui a suivi la signature du traité de Rome quand la rotation avait été mise en place selon l’ordre alphabétique. La première présidence est donc échue à la Belgique (l’Allemagne figurant sous son nom...
Article réservé aux abonnés
Accédez à l'intégralité du site et recevez Le Sillon Belge toutes les semaines
Déjà abonné au journal ?
Se connecter ou Activez votre accès numérique