D’un autre côté, une poignée de pays, dont la Belgique, demande que soit fixée une limite stricte de durée de transport des animaux, voire que soient interdites les exportations d’animaux vivants sur de longues distances.
« Si la science et l’expérience nous indiquent que certaines pratiques de transport sont préjudiciables au bien-être des animaux, nous devrons envisager des moyens d’ajuster ces pratiques. Ne rien faire n’est pas une option » affirme la commissaire européenne à la Santé Stella Kyriakides. Elle assure, toutefois, que la commission « tiendra compte des conséquences économiques de ses propositions pour qu’elles soient aussi ambitieuses que pragmatiques et viables ».
