et les crétins des champs »
Notre métier est coincé dans une foultitude de règlement, directives, normes, injonctions à n’en plus finir. Où est-elle l’agriculture de ma jeunesse ? Très peu de papiers. On sifflait et on chantait en travaillant, le bonheur ! Maintenant c’est le stress, la tension, serrer les poings afin de garder son calme pour ne pas éclater face à ces harceleurs dogmatiques et parfois très incompétents à qui on donne trop de pouvoirs.
La prose de Marc Assin m’a ramené à un de mes articles « Les malins des villes et les crétins des champs ». Pastichant la fable de la Fontaine « Le rat des villes et le rat des champs », publié le 16 avril 1999 dans « Voix de la terre », je le terminais par ses mots « Et quand le dernier des crétins des champs eut disparu le monde eut vraiment l’air malin ». Trop de parasites tuent l’animal et… les parasites. Triste fin pour une profession qui fut bucolique.











