« Au départ, il n’y avait que deux murs », sourit Julie Coumont, la propriétaire qui n’a pas encore eu la chance d’expérimenter les agnelages dans cette nouvelle bergerie. En tout cas, les moutons de race Charollais, ont l’air de s’y sentir comme des coqs en pâte.
Au total, les brebis restent trois mois dans ce bâtiment, un mois avant et deux mois après l’agnelage. « Nous travaillons par lot de 100 », indique cette éleveuse. « J’ai suivi des formations pour apprendre un bien gérer la bergerie. J’ai commencé par une dizaine de moutons, toutes races confondues. Et il y a environ quatre ans, j’ai acheté mon premier lot de Charollaises, et petit à petit, nous avons augmenté le troupeau », conclut-elle.
