« On crée un stock de déchets phytosanitaires à traiter par la suite, alors que le sol est tout à fait capable de dégrader naturellement les produits employés », précise l’agriculteur. M. Pierard a ajouté une cuve d’eau claire de 200 l sur son pulvérisateur pour être certain de disposer d’une capacité suffisante. Pour lui, c’est aussi « plus pratique de nettoyer l’extérieur du pulvérisateur au champ, tant qu’on est occupé par ces opérations. Je peux ensuite rentrer avec un matériel propre ! ».
