
Bien entendu, ce n’est pas la première fois que Rendac est confronté à ce type de crise. Sebastian Feyten, responsable de l’entreprise, se souvient notamment de la grippe aviaire ou de la peste porcine. « La différence est qu’avec la FCO3, nous devons régulièrement faire face à de plus petits élevages. On doit, par exemple, ramasser une bête à un endroit, deux à un autre. Cela représente de nombreux points de collecte, ce qui rend évidemment les choses plus compliquées. Aujourd’hui, nous arrivons à la limite de nos capacités… »...
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