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Les cotations restent

en hausse

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Pour les veaux, les cotations sont en hausse cette semaine. Leur prix varie de 1.000 à 1.450 € pour un bon veau culard, tandis que 1.200 € est la norme moyenne (prix TVAC). « Marché ferme : l’offre est très inférieure à la demande ».

C’est le même constat pour les vaches grasses puisque la moyenne est de 5,2 à 6,2 €/kg vivants. Avec une direction pour ce genre abattu vers 8,1 à 9 €/kg avec quelques pics jusqu’à 9,2 €/kg pour des vaches bien finies et pour de la première qualité (S+). Une différence de 0,05 à 0,10 euro supérieur peut être observée si la vache est en dessous de 5 ans (prix HTVA). « Marché très ferme : l’offre est très inférieure à la demande ».

Pour les taureaux gras, dont les cotations sont également en hausse, les prix fluctuent autour de 5,3 à 6,2 €/kg vif ou de 8,1 à 9,1 €/kg abattu, tandis que 9 €/kg est la norme. Avec un prix jusqu’à 9,15 €/kg (S+) s’il est livré sous une étiquette spécifique (label, coopérative, bas âge, en dessous de 700 kg). Une différence de 0,05 à 0,10 € supérieur peut être observée pour les taureaux en dessous de 20 mois (prix HTVA). « Marché très ferme : l’offre est très inférieure à la demande ».

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Courrier des lecteurs: «Le toubib, le véto et l’agronome…»

Voix de la terre L’autre jour, nous étions trois amis autour de la table. Le ministre de la santé, Frank Vandenbroucke venait d’annoncer sa décision de réduire de 80 millions le budget « médicaments » qui se situe à 6,8 milliards  € par an pour la Belgique, soit 1,1 %. Cris d’orfraie du secteur pharma, évidemment, alors que le marché belge serait, selon la presse, le plus couteux d’Europe.
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