Les deux projets GPS menés en 2024/2025 proposent des pistes concrètes :
Le projet « salmonellose » souligne l’importance des suivis sérologiques sur le sang répétés, même si la détection des bovins porteurs chroniques reste un défi.
Le projet respiratoire met en avant l’intérêt des prélèvements d’échantillons pulmonaires profonds et de l’échographie.
Ces approches visent toutes deux un objectif commun : améliorer la santé des animaux, et donc la rentabilité des élevages.
Article réservé aux abonnés
Accédez à l'intégralité du site et recevez Le Sillon Belge toutes les semaines
Déjà abonné au journal ?
Se connecter ou Activez votre accès numérique
