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Dès l’entame de la saison, les nerfs des patatiers ont été mis à rude épreuve

Cette année, les pluies auront été à la fois les alliées et les ennemies des producteurs de pommes de terre. Retardant les plantations tout d’abord, elles sont tombées à point nommé en juillet, alors que la sécheresse sévissait depuis plusieurs semaines. Mais l’excès d’humidité a également été favorable au mildiou… Les sources de stress ont donc été nombreuses, dans un contexte économique où la quasi-pénurie de tubercules s’est fait ressentir.

Vivra-t-on encore une saison normale ? », s’interroge-t-on de plus en plus fréquemment dans les fermes. La Fiwap, elle aussi, se pose la question et livre ses premières observations sur cette campagne particulière, tant sur le plan cultural qu’économique, l’un n’étant pas sans impact sur l’autre.

Du jamais-vu, dès la plantation

Et Daniel Ryckmans de détailler : « Par rapport à la moyenne des cinq...

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pommes de terre En cette période de livraison des variétés hâtives, les marchés s’avèrent déjà saturés et les volumes libres ne trouvent pas acheteur. Les besoins actuels de l’industrie et du négoce sont couverts par les volumes sous contrat dont l’enlèvement se déroule correctement et sans retard majeur. Les prix sur le marché libre de la pomme de terre industrielle affichent un niveau extrêmement bas de l’ordre de 10 à 15 €/t. Les circuits alternatifs (alimentation du bétail, biogaz, compost…) sont déjà activés et servent aussi à évacuer un excédent de la production 2024.
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