Se responsabiliser et rendre le risque acceptable
Suite à la Voix de la Terre de Marc Assin publiée dans Le Sillon Belge du 7 décembre dernier sous le titre « Un métier aux mille dangers », je voudrais rappeler que nous, agriculteurs belges, évoluons dans un pays où l’agréation et l’utilisation de PPP doivent répondre à une législation des plus strictes au monde. Nous y arrivons grâce aux énormes investissements et aux importants efforts des firmes et des agriculteurs, notamment.

Depuis de nombreuses années, nos agriculteurs sont tenus de gérer leurs cultures de manière responsable et intégrée, c’est-à-dire que l’utilisation des produits de protection des cultures n’intervient qu’en dernier recours. Chaque agriculteur est libre d’utiliser des produits de synthèse ou de n’avoir recours qu’à des produits d’origine naturelle (dont la nocivité est parfois bien plus élevée), ou de ne rien utiliser du tout, avec toutes les menaces que cela implique. L’immense majorité de nos agriculteurs gère la manipulation de ces remèdes de manière responsable....
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