Un moratoire mondial sur l’application du forçage génétique
Le 30 juin dernier, de nombreuses associations en Europe dont Nature & Progrès, l’Unab, et Natagora ont demandé à la Commission européenne de soutenir pleinement la résolution du Parlement européen du 16 janvier en faveur d’un moratoire mondial sur la dissémination dans la nature des organismes génétiquement forcés (GDO) y compris pour des essais en plein champ. Ceci en vue de la préparation de l’Union européenne à la prochaine conférence des parties (COP 15) de la Convention sur la diversité biologique intégrant le Protocole de Carthagène sur la biosécurité. La même demande sera adressée aux ministres fédéraux et régionaux belges amenés à déterminer la position de notre pays.

Sur le plan international, c’est principalement vers la convention sur la diversité biolgique (CDB) que les regards se tournent mais l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (IUCN) est également concernée et doit débattre cette année et l’année prochaine de la Biologie de Synthèse et donc également du forçage génétique.
Une action irréversible
Le forçage génétique, technologie récente dérivée du CRISP/...
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