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Pommes de terre: l’été humide entraîne des problèmes de qualité et une hausse des coûts de production

Si l’humidité de ces derniers mois a posé des problèmes dans les parcelles de céréales et colza, les pommes de terre ne sont pas pour autant épargnées. Le NEPG relève d’ailleurs une hausse des coûts de pulvérisation, découlant directement de la pluviométrie estivale. Pour la même raison, de nombreuses interrogations portent sur la qualité de la récolte.

Le nord-ouest de l’Europe aura connu l’un des étés les plus humides de ces dernières décennies ! Dans certaines régions de Belgique et dans l’ouest de l’Allemagne, les précipitations à la mi-juillet ont atteint un niveau historique absolu.

Depuis mi-juillet, les problèmes de mildiou ont été une préoccupation constante pour les producteurs, et les coûts de pulvérisation atteindront également un niveau historique… Un nombre croissant de producteurs disent que leurs foyers de mildiou sont plus ou...

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pommes de terre En cette période de livraison des variétés hâtives, les marchés s’avèrent déjà saturés et les volumes libres ne trouvent pas acheteur. Les besoins actuels de l’industrie et du négoce sont couverts par les volumes sous contrat dont l’enlèvement se déroule correctement et sans retard majeur. Les prix sur le marché libre de la pomme de terre industrielle affichent un niveau extrêmement bas de l’ordre de 10 à 15 €/t. Les circuits alternatifs (alimentation du bétail, biogaz, compost…) sont déjà activés et servent aussi à évacuer un excédent de la production 2024.
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