à prendre du plaisir lors de la traite
Arthur Niessen, et son épouse Josien, sont parmi les rares en Wallonie à avoir opté pour l’automatisation de la traite et de l’alimentation. « La flexibilité que ces technologies nous procurent nous soulage énormément, tant physiquement, que mentalement ! », sourit Arthur qui n’a pas délaissé sa salle de traite pour autant. Un choix empreint de sa vision de l’élevage à moyen et long terme, d’une rationalisation des coûts et d’un brin d’opportunisme.
De 120 à 230 bovins et… 300 chèvres
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