« Il n’y a pas eu de fraude à l’étiquetage, puisque les étiquettes originales étaient présentes. », s’est alors immédiatement défendu le directeur commercial, Johan Heylen. Il a également affirmé qu’il s’agissait d’une erreur humaine, deux palettes ayant été chargées de manière erronée. L’abattoir a assumé sa responsabilité et intégralement remboursé son client.
L’Afsca avait alors « immédiatement procédé à une enquête approfondie. » L’agence a confirmé que « de cette enquête, il est ressorti qu’il n’y avait aucune indication d’une fraude intentionnelle pour cet envoi, mais qu’il y avait effectivement une erreur humaine. »
