Arvalis soulignait, le 27 juin, un «risque marqué» pour les cultures en phase de remplissage, ce qui est le cas du blé au nord d’une diagonale Nantes-Lyon. «Un arrêt prématuré du remplissage est à craindre», affirme l’institut sur son site internet, jugeant les situations les plus à risques pour les parcelles les plus tardives avec des sols dont les réserves en eau sont épuisées. «Les fortes températures vont impacter la constitution du PMG, note encore Arvalis. Une levée de dormance est à surveiller, poursuit l’institut mais cela n’aura «pas de conséquence si les semaines à venir sont sèches et chaudes».