
Les médias ont parlé de ce traité le temps d’un week-end, puis sont passés au Tour de France. La presse agricole a davantage creusé le sujet et on en a compris l’essentiel : avantage agricole pour l’Amérique du Sud, industriel pour l’Europe et inversement. Bref, de noirs nuages sur un ciel déjà si bas, avec ce constat d’injustice : « Pourquoi les normes, toujours plus élevées chez nous au nom de la protection du consommateur, ne sont pas d’application quand il s’agit d’importations venant de pays incontrôlables par ailleurs ? »
J’entends...
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