prête à renaître, sous le label
juste prix au producteur
Si en 2005, on produisait encore dans notre pays quelque 15.500 tonnes d’orge brassicole de printemps, ces volumes se sont écroulés entre les années entre 2009 et 2011, chutant d’environ 13.000 à 3.000 t, et jusqu’en 2015 en tout cas, aucune reprise n’a été observée.
On l’aura compris, aujourd’hui, la filière belge de la malterie n’est plus alimentée que de manière anecdotique par des orges brassicoles wallonnes.
Pourtant les démarches visant à produire et utiliser localement des céréales (circuits courts, productions bio…) se...
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