Par ces temps difficiles mieux vaut dire la détresse en chantant!?
Adaptation de Papa Mambo d’Alain Souchon, ça faisait : on est foutu on mange trop, on est foutu on mange trop. Papa Mambo… Ça y est vous avez l’air… voici les paroles…
Ton tout beau troupeau
Tes étables, tes robots
L’tourbillon des fameuses pailleuses
Que l’évolution rend précieuses
Mais le compte y tient pas le tempo
Tombe de haut l’fermier en solo
Dans un bien moche scénario
Dans un bien moche scénario
Tu vas à l’étable mais, fait mal au coeur
Tu le trouvais super dans l’temps, l’agriculteur
Trop beau miroir aux alouettes
Faut oeuvrer pour des clopinettes
Et le portefeuille tient pas la rime
Tu trimes pour pas un centime
Te voilà joli, te voilà beau
Tout plié, rigolo, sous l’anxiété, l’lumbago
Te voilà beau, te voilà joli
Accablé, croupi, sous les prêts, englouti
On est foutu, on prête trop
On est foutu, on prête trop
Mais qu’est-ce qu’on fera quand on sera à zéro
Pas rigolo
On est foutu, on prête trop
on est foutu, on prête trop
Mais qu’est-ce qu’on fera quand on sera à zéro
On est foutu, on prête trop
Pas rigolo
T’avais pas compté la baisse du beurre,
Touches pas les antidépresseurs
Des belles sirènes chanteuses, t’es aguerri
Mais ta dette toute seule, elle a grossi
Plus d’exportation même pour la Chine !
Et ta compta est sous morphine
Te voilà joli, te voilà beau
Tout plié, rigolo, sous l’anxiété, l’lumbago
Te voilà beau, te voilà joli
Accablé, croupi, sous les prêts, englouti
On est foutu, on prête trop
On est foutu, on prête trop
Mais qu’est-ce qu’on fera quand on sera à zéro
Pas rigolo
Manou de Warneton