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Deux candidates sérieuses

au développement du plan wallon des protéines végétales

Les cultures de pois protéagineux et féverole peinent à séduire dans nos campagnes malgré une demande soutenue, dopée par l’industrie alimentaire. L’instabilité des rendements, placés sous la forte influence du climat, explique en partie le désintérêt des cultivateurs. Par conséquent, l’offre interne demeure largement insuffisante que pour satisfaire les acheteurs, obligés de se tourner vers l’importation. Une situation que doit contrer le « Plan

de développement des protéines végétales en Wallonie ».

En novembre 2018, la Commission européenne a présenté son « Plan Protéines ». Son but : doter l’Europe d’une stratégie lui permettant, notamment, de réduire sa dépendance au soja d’importation. Outre un volet alimentation animale, une partie du plan est dédiée à l’alimentation humaine.

« Les légumineuses ne représentent actuellement que 3 % des terres arables de l’Union européenne. Le monde de la recherche s’attelle donc à améliorer la compétitivité des protéagineux et, ainsi, les rendre plus attrayants...

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