au programme bénéficient d’une rémunération pour couvrir le manque à gagner et les coûts de mise en œuvre. L’agroenvironnement doit contribuer au développement d’une agriculture durable et, de manière particulièrement déterminante
à son volet relatif à la biodiversité.
Depuis sa création, la progression globale des mesures agroenvironnementales a été très nette entre 1995 et 2009 avec une interruption pendant trois années seulement. La croissance a été plus lente de 2009 à 2012. Le succès a été à son apogée cette année-là avec 57 % des producteurs engagés dans le programme. L’année suivante on notait une chute de la participation qui n’a pratiquement pas cessé jusqu’en 2018. Elle était retombée à ce moment à 45 %. On comptait sur cette période 3.100 participants de moins au programme (passage...
Article réservé aux abonnés
Accédez à l'intégralité du site et recevez Le Sillon Belge toutes les semaines
Déjà abonné au journal ?
Se connecter ou Activez votre accès numérique