Quand on le voit passer martelant le pavé
De ses quatre sabots tout fraîchement ferrés
Par-delà les bosquets, les vallons et les gués
On ne peut que louer sa grande majesté !
Déjà de bon matin, il va par tous les temps
Avec courage, entrain, au son des grelots blancs
Sur son dos si puissant, il ose porter fièrement
Un harnais ajusté, parfois brinquebalant !
Frétillant de la queue mieux qu’un cheval de bois
Il ne renonce pas, traînant de lourds charrois.
Serviteur attentif, marchant à petits pas
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