il faut considérer la fin
Des fleurs ! C’est la raison pour laquelle aucun agriculteur betteravier n’a jamais vu d’abeilles sur un champ de betteraves. Pour l’Inra, en France, il n’existe pas de produits comparables aux néonicotinoïdes. En culture betteravière, ils sont employés à doses infinitésimales, quelques grammes par ha. Cet enrobage de la graine évite trois traitements protégeant la plante contre une demi-douzaine de ravageurs bien connus, à trois stades différents (au semis, à la levée et au stade jeune). C’est sans doute dérangeant pour le commerce de différents produits remplacés.
Il faut savoir que le commerce international est soutenu ou contrôlé par les décisions de nos parlementaires, sous la pression du lobbyisme international et de l’industrie sucrière ?
Je laisse réfléchir le lecteur. En toute chose il faut considérer la fin. Nous devons faire confiance aux chercheurs et vivre d’espoir.
