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Voilà, ce que je souhaite

à tous et à notre belle planète

Temps de lecture : 1 min

« Il est, paraît-il des terres brûlées

donnant plus de blé qu’un meilleur avril » (Brel, ne me quitte pas)

Peut-on rêver un avenir meilleur ?

Peut-on encore en être les acteurs ?

La fleur, l’oiseau, la rivière et la mer

Ne sont plus comparables à ceux de nos pères

Qu’avons-nous provoqué ?

Quel magicien mal embouché,

Nous a aussi maladroitement inspiré ?

Produire, usiner des tonnes d’articles,

Et en retrouver jusque dans l’Arctique.

S’aliéner la liberté du temps perdu,

Pour s’acheter le superflu.

L’enfant a, en nous, toute confiance

Nous lui devons l’insouciance.

Je crains son regard attentif,

Sur notre trop sombre passif.

Avec maturité et sagesse,

Sans regrets, ni tristesses,

Renonçons à la consommation abusive,

Revenons à l’essentiel, à la vraie vie créative.

Il est encore temps,

Pour l’amour de nos enfants.

De nouvelles alternatives,

Pour que notre Terre survive.

Vive le vent, vive le vent d’hiver…

Qu’ils puissent encore chanter comme hier,

Que la neige couvre nos champs,

Que reviennent les saisons d’antan.

Voilà, ce que je souhaite,

À tous et à notre belle planète.

Ne plus entendre « productivité »

Pensons plutôt échanges, égards, égalités.

Vive le vent, vive le vent

vive le vent d’hiver

Boules de neige et jour de l’an

Et… bonne année Grand-mère.

Manou de Warneton

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