l’enfance par un élevage de quelques caprins de race naine,
s’est transformé en une exploitation de laitières. « J’aime
ces animaux, d’autant que leur rendement au litre de lait
est bien supérieur à celui des vaches. Je tenais à en profiter ».
La future chèvrerie est aujourd’hui en construction. En plus de son travail à plein-temps comme professeur dans un institut agronomique, Jonas est occupé à rénover une vieille étable dans la ferme parentale. « Cette stabulation était vide depuis plusieurs années. Afin de pouvoir me lancer, je la loue désormais. De cette façon, je vais progressivement rembourser mes parents. »
Mais cet amour des chèvres n’est pas né d’hier. Quand Jonas avait 8 ans, il voulait une chèvre naine. Il ne fallut pas longtemps avant qu’il ne...
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