
Chaque semaine, je m’attache à vous transmettre les paroles des « Voix de la terre », prononcées par des parents, voisins, amis et connaissances, très proches pour la plupart de notre milieu agricole. J’écris toutes mes réflexions en français, tandis que ces conversations orales se sont tenues le plus souvent en dialecte wallon. N’est-ce pas une trahison ? Je m’interroge…
Lors d’épisodiques poussées de nostalgie fiévreuse, les « langues locales et minoritaires » bénéficient d’un regain d’intérêt de la part des instances culturelles...
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