de nom et réaffirme
sa volonté d’ouverture à toute la diversité de la profession semencière.

Il s’agit d’en faire l’interprofession de toutes les formes et tous les usages de semences et plants, a réaffirmé le président François Desprez. On note en effet la création d’une nouvelle section intitulée « Diversité des semences » signifiant que les autres façons de produire – semences fermières, paysannes, la sélection participative, etc. – seront désormais représentées au sein de Semae et de son conseil d’administration.
La Coordination rurale et la Confédération paysanne, syndicats dits minoritaires, sont invitées à faire partie du conseil d’administration de l’interprofession.
Semae dit également s’engager à jouer la transparence. C’est une façon de « mettre un terme à un mauvais procès » qui lui est fait, à savoir d’« être le lobby de quelques grandes entreprises semencières multinationales », explique François Desprez.
L’interprofession française veut donner davantage d’informations sur ses activités de contrôle des semences, menées « en toute indépendance et totale impartialité ».
Semae prévoit également de détailler son budget de 42 millions d’euros, activité par activité.
