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Très peu de pucerons actuellement !

Au 14 juin, la situation s’avère très calme sur

le plan des pucerons.

Temps de lecture : 2 min

Les organismes actifs au sein du Centre pilote maïs de la Région wallonne ont remis en place un réseau d’avertissement avec un suivi de parcelles dans les différentes régions. Ces observations feront l’objet de communiqués hebdomadaires. Pour ce faire, 12 sites seront suivis par le Carah, le CPL-Vegemar et le Cipf. Sur chacun de ces sites, des identifications et comptages de pucerons sont effectués sur trois répétitions de trois variétés communes pour chacun des sites des deux grandes zones (Moyenne Belgique d’une part, Sud Sambre et Meuse d’autre part).

Pour les parcelles semées entre le 20 et 28 avril, ce qui correspond à la principale vague de semis, on rencontre des plantules de maïs se situant entre la 6è et la 7è feuille visible. Les maïs implantés durant la première décade de mai atteignent quant à eux le stade 4-5è feuille visible. Vu que les populations de pucerons ne peuvent se développer sur les maïs de moins de 4-5 feuilles visibles (présence de Dimboa), des observations n’ont été effectuées que sur des sites ayant atteint ou dépassé ce stade.

Actuellement, sur base des observations dans les champs où les plantules de maïs ont atteint 5 feuilles, les pucerons demeurent quasi absents. Les précipitations des deux dernières décades de mai ainsi que les orages qui ont arrosé copieusement les parcelles de maïs courant de la première semaine du juin ont été un frein à l’installation des colonies de pucerons sur les feuilles de maïs. On observe d’ailleurs des populations d’auxiliaires en recrudescence ces derniers jours, permettant de contenir les quelques individus déjà installés.

Les relevés ont été effectués à Ath, Bonlez, Corroy-le-Grand, Harsin, Hemptinne, Neupré, Saint Ghislain, Sirault, Obaix et Waremme.

D’après le Centre pilote maïs

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Enseignement Cela fait déjà bien longtemps que l’École provinciale d’agronomie et des sciences de Ciney (Epasc), fondée en 1921 sur le site de la ferme-château de Saint-Quentin, a évolué en un centre de formation reconnu dans les domaines de l’agriculture, des sciences naturelles, de l’horticulture, de l’agroéquipement et de l’environnement. Afin d’offrir les meilleures ressources d’apprentissage à ses élèves, la direction de l’institution s’est dotée d’un outil pédagogique innovant : une vache-mannequin grandeur nature conçue pour offrir une expérience de formation immersive et ultra-réaliste à ceux qui seront les agriculteurs de demain.
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