
Plusieurs États membres ont réitéré leur demande à la commission européenne de lever à titre temporaire les droits de douane ad valorem pour fluidifier le marché, sans quoi les agriculteurs risquent de modifier leurs assolements. À ce stade, la commission s’en tient à surveiller le marché. « La situation actuelle nous rappelle combien nous sommes dépendants des engrais chimiques », a répondu le commissaire européen Janusz Wojciechowski qui a rappelé l’importance d’améliorer « l’efficacité de l’utilisation actuelle des engrais et de trouver des alternatives plus durables », comme le prévoit la nouvelle PAC.
