pour les pesticides biologiques
Ces dispositions vont alléger les exigences réglementaires pour l’autorisation des micro-organismes (bactéries, champignons, virus…) utilisés pour lutter contre les parasites, en particulier les évaluations des risques qui se concentreront uniquement sur les données pertinentes permettant d’effectuer moins d’essais.
Alors que la Commission européenne, dans le cadre de la stratégie De la ferme à la table, a fixé un objectif de réduction de 50 % de l’usage et des risques liés aux pesticides dans l’UE d’ici 2030, « ces...
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