En effet, selon les précipitations reçues, inégalement réparties sur le territoire wallon et très variables d’une localité à l’autre, les premiers semis de colza ont démarré après le 15 août, généralement dans un sol très sec, engendrant une poussière exceptionnelle. Dans l’attente de pluies finalement arrivées durant la deuxième semaine de septembre, le semis de colza s’est poursuivi en fonction des quantités cumulées de précipitations.
Cette année, la levée du colza dépend de l’humidité amenée par les pluies, car le sol est...
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