de main-d’œuvre qui touche le secteur de la viande
« Les résultats sont excellents puisque le taux d’insertion des personnes formées est de 99 %. C’est un projet porteur de sens » s’est réjouie la co-directrice de Wagralim, Sophie Bourez. « Personne ne peut nier la pénurie de main-d’œuvre qui touche le secteur depuis de nombreuses années. Solide et durable, le projet a utilisé des méthodes innovantes en amenant la formation au sein même des entreprises. »
Concrètement, la semi-remorque, qui contient six tables de découpe, est stationnée sur le parking de l’...
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