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Des journées de 12 heures

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Olivier Gillet est débardeur au cheval depuis onze ans. Bûcheron au départ, il a eu envie de diversifier son activité, et s’est donc formé auprès de différents débardeurs belges et français. Aujourd’hui, il possède trois chevaux, qui lui obéissent au doigt et à l’œil. Parmi eux, Crack (photo). « C’est mon premier cheval, je l’ai acheté chez un débardeur. C’est lui qui m’a formé ». Olivier et Crack commencent leur travail dès 6 heures du matin. Ensuite, c’est parti pour une journée de 12 heures. « C’est réellement un métier pour lequel il faut être passionné. On ne le fait clairement pas pour l’argent », nous explique-t-il. Il nous raconte encore : « Au début, le plus grand challenge, était de trouver une clientèle. Aujourd’hui, mes clients sont heureux. Ce qu’ils aiment ? Que je m’occupe de leur exploitation sans endommager la forêt ».

D.T.

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La vache-mannequin qui venait du froid

Enseignement Cela fait déjà bien longtemps que l’École provinciale d’agronomie et des sciences de Ciney (Epasc), fondée en 1921 sur le site de la ferme-château de Saint-Quentin, a évolué en un centre de formation reconnu dans les domaines de l’agriculture, des sciences naturelles, de l’horticulture, de l’agroéquipement et de l’environnement. Afin d’offrir les meilleures ressources d’apprentissage à ses élèves, la direction de l’institution s’est dotée d’un outil pédagogique innovant : une vache-mannequin grandeur nature conçue pour offrir une expérience de formation immersive et ultra-réaliste à ceux qui seront les agriculteurs de demain.
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