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Des journées de 12 heures

Olivier Gillet est débardeur au cheval depuis onze ans. Bûcheron au départ, il a eu envie de diversifier son activité, et s’est donc formé auprès de différents débardeurs belges et français. Aujourd’hui, il possède trois chevaux, qui lui obéissent au doigt et à l’œil. Parmi eux, Crack (photo). « C’est mon premier cheval, je l’ai acheté chez un débardeur. C’est lui qui m’a formé ». Olivier et Crack commencent leur travail dès 6 heures du matin. Ensuite, c’est parti pour une journée de 12 heures. « C’est réellement un métier pour lequel il faut être...

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