Ladite étude est basée sur un panel de 1.000 francophones, dont 97 % ont affirmé avoir consommé de la viande dans les trois mois précédant sa réalisation. Près de trois quarts des répondants exprimaient le souhait de stabiliser sa consommation de viande, et 18 % souhaitent la diminuer. Le solde, soit 9 %, déclarait vouloir l’augmenter. Selon l’Apaq-W, nous ne tendrions donc pas vers une diminution du nombre de consommateurs, mais plutôt vers une diminution des quantités consommées.
Contrairement à cette tendance...
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