des cerises
« (…) C’est là que d’meure m’matante Dorothée (…)
On a r’ciné à l’omb’ padzou l’fouilladge
Au mitan d’ell’ cour padzou l’gros cherigi (…) » (1)
Tout comme chez Tante Dorothée, tante de l’amoureux transi de Lolotte, il fut un temps où, dans nos campagnes, toute « bonne » maison se voyait accompagnée d’(au moins) un plantureux cerisier, généreux fournisseur de bigarreaux, guignes ou griottes pour petits et grands… Majestueux et monumental, il devenait en avril...
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