Cet automne, les champignons sont rares, déplorent les amateurs d’agarics, cèpes et autres girolles. Chouette alors ! Je ne vais pas m’en plaindre, car cette année, peu de visiteurs inopportuns ont arpenté nos prairies à la recherche de petits rosés-des-prés, et c’est tant mieux, car quelquefois, trop c’est trop. Ceci dit, d’autres compagnies investissent nos champs ces jours-ci, beaucoup plus effrayantes celles-là : armées de fusils, accompagnées de chiens et de traqueurs aboyant et trompettant à qui mieux mieux. On n’est plus...
Article réservé aux abonnés
Accédez à l'intégralité du site et recevez Le Sillon Belge toutes les semaines
Déjà abonné au journal ?
Se connecter ou Activez votre accès numérique










