Les haies et plantations permettent un travail plus efficace des prédateurs.
Les pièges permettent d’attendre l’arrivée des prédateurs en limitant les dégâts.
Les prédateurs naturels sont les plus efficaces sur le long terme.
Oublions les appâts empoisonnés ou émetteurs d’ultrasons : leur efficacité est trop limitée ou trop brève vis-à-vis de fortes populations de campagnols.
Les populations augmentent en plusieurs années et puis s’effondrent, c’est un cycle évolutif naturel.
Article réservé aux abonnés
Accédez à l'intégralité du site et recevez Le Sillon Belge toutes les semaines
Déjà abonné au journal ?
Se connecter ou Activez votre accès numérique