Accueil Archive

Patrick Mauën et ses « Clapiers d’antan »

remettent la viande de lapin au goût du jour

Ce n’est pas pour rien que Patrick Mauën est surnommé « Monsieur lapin ». Ce policier s’est lancé il y a quelques années dans l’aventure cunicole. Alors qu’au

départ, il s’agissait d’un projet personnel, suite à l’engouement pour cette viande, délaissée par certains mais adorée par d’autres, il a créé « Les clapiers d’antan ». Un succès pour ce passionné qui gère tout : de la naissance des lapereaux à la commercialisation des produits.

Dénicher un éleveur de lapins de chair dans nos régions n’est pas une mince affaire… En effet, ces cuniculteurs se font de plus en plus rares. Pourtant, certains sont de fervents défenseurs de cette viande. C’est le cas de Patrick Mauën. Chez lui, à Lesve, en région namuroise, il en élève 300 par an, le tout grâce à ses 12 femelles et à son mâle. « Cela reste à un petit niveau », explique celui qui ne cherche pas la quantité mais plutôt la qualité. Une recette qui fonctionne.

En effet, « Les clapiers d’antan...

Article réservé aux abonnés

Accédez à l'intégralité du site et recevez Le Sillon Belge toutes les semaines

Abonnez-vous

Déjà abonné au journal ?

Se connecter ou Activez votre accès numérique

La Une

Courrier de lecteur: «Une vie de route»

Voix de la terre Au volant de sa petite voiture rouge, Simone trône sur son nuage, reine de la route, impératrice des chemins de campagne. Bien visible des autres conducteurs, elle emprunte sans complexe toutes les voies de communication, sauf les rails (évidemment…) et les autoroutes, car elle confond les entrées et les sorties et s’est retrouvée une fois à contre-sens sur une bretelle, heureusement peu fréquentée. Elle ne craint rien : ni l’obscurité, ni le brouillard, ni la neige, ni le verglas.
Voir plus d'articles
Le choix des lecteurs