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Limiter un maximum

les pertes alimentaires

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Les transformateurs laitiers, conscients notamment de la problématique climatique, travaillent à une production plus durable au sein de leurs sites de production, comme l’a indiqué Sébastien Buytaert, président de la CBL.

Selon lui, ces efforts passent par la consommation énergétique, l’utilisation de l’eau, ou encore par des emballages plus durables et par la limitation des pertes alimentaires. « Dans un projet récent, la CBL, en collaboration avec plusieurs partenaires, a cartographié les pertes alimentaires tout au long de la filière. Ce projet révèle que celles-ci ne s’élèvent qu’à 1,06 %. Ce pourcentage est inférieur au point de référence de 1,3 % pour l’ensemble de l’industrie alimentaire, et bien plus faible que les pertes au sein de ménage ».

Ce chiffre illustre, dès lors, le fait que les transformateurs laitiers s’emploient quotidiennement à optimiser leur processus d’exploitation et visent une efficacité élevée. « De plus, les flux de pertes éventuels sont toujours valorisés au maximum ». Ainsi, 73 % de ces surplus servent pour l’alimentation du bétail lorsque la consommation humaine n’est plus possible.

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