les pertes alimentaires
Selon lui, ces efforts passent par la consommation énergétique, l’utilisation de l’eau, ou encore par des emballages plus durables et par la limitation des pertes alimentaires. « Dans un projet récent, la CBL, en collaboration avec plusieurs partenaires, a cartographié les pertes alimentaires tout au long de la filière. Ce projet révèle que celles-ci ne s’élèvent qu’à 1,06 %. Ce pourcentage est inférieur au point de référence de 1,3 % pour l’ensemble de l’industrie alimentaire, et bien plus faible que les pertes au sein de ménage ».
Ce chiffre illustre, dès lors, le fait que les transformateurs laitiers s’emploient quotidiennement à optimiser leur processus d’exploitation et visent une efficacité élevée. « De plus, les flux de pertes éventuels sont toujours valorisés au maximum ». Ainsi, 73 % de ces surplus servent pour l’alimentation du bétail lorsque la consommation humaine n’est plus possible.
