EnvironnementUn projet pilote canadien mené à Vancouver sur le miel d’abeille inspire Bruxelles, Paris et Grenoble. L’expérience permet de détecter les sources de pollution de l’air grâce à l’analyse chimique et isotopique du miel. La bruxelloise Dominique Weis, ancienne chercheuse du FNRS à l’ULB et actuelle directrice du Pacific Centre for Isotopic and Geochemical Research de Vancouver, a démontré que le miel contient des traces (en très petites et inoffensives quantités) de chaque source polluante à proximité de la ruche.