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Le premier migrant est… une dame

Madame Patate. C’est ce qui se dit à Bruxelles. Au parc Maximilien ? Que nenni ! Dans une exposition qui se tient actuellement dans un ancien moulin à vent sur la Commune d’Evere. Ce sont surtout les écoles de l’agglomération bruxelloise qui viennent à sa rencontre, pour enquêter sur son sort.

Et comme tous les migrants, elle explique d’où elle vient, son âge, ce qu’elle a fait pour s’intégrer en Europe. En fait, dans son pays d’origine, les Incas l’appelaient « papa » mais depuis qu’elle vit chez nous, elle a pris le genre féminin. Elle a d’ailleurs inspiré le nom à beaucoup de belles européennes : les Charlottes par exemple. Sans elle, on ne parlerait pas des belles de Fontenay. Et Madame de Pompadour, lui doit-elle son nom ? On parle aussi de la Franceline, de Laurette, d’Agata, et, plus tendre, Monalisa ou Manon.

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Pour qui? Pourquoi?

Voix de la terre Je ne sais pas vous, mais en ce qui me concerne, je ne sais toujours pas pour qui, ni pourquoi je voterai d’ici un petit mois. Sans doute suis-je un mauvais citoyen, de me sentir aussi peu concerné par la politique ? Et pourtant, je devrais ! L’agriculture est particulièrement tributaire des propositions présentées et débattues dans les hémicycles des parlementaires, des décisions prises dans les cabinets des ministres. Voter pour des gens compétents relève de la plus haute importance, sinon le premier branquignolle venu risque fort de prendre les rênes de nos destinées. Si tu ne viens pas à la politique, celle-ci viendra à toi, fatalement…
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