Maladies et ravageurs du poireau: l’observation avant tout!
La prévention se décline dans le choix variétal, le choix de la parcelle quand il est possible de choisir, la structure du sol et le drainage. Ces démarches permettent de prévenir pas mal d’ennuis, mais demeurent quelques maladies et ravageurs que nous passons en revue.
La densité de la population et la configuration de la parcelle sont deux aspects de l'aération du feuillage et la prévention de maladies foliaires.La mouche mineuse (Phytomyza gymnotoma) peut provoquer d’énormes dégâts. Les larves provoquent des déformations au fut et la présence des pupes compromet la qualité marchande des poireaux. Le feuillage se déforme, les futs éclatent et ne sont plus commercialisables. Deux générations par an provoquent leur pic de dégâts, au printemps et en automne. Les dégâts sont devenus très importants depuis la vague de vol de cette mouche en 2008-2009.
Nous passerons également en revue quelques auxiliaires bien utiles.
Des ravageurs
Les ravageurs du poireau sont nombreux, mais ceux qui nous posent le plus de problèmes sont la mouche mineuse, la teigne et le thrips.
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Maraîchage
Le navet est tant demandé en circuit long qu’en circuit court. Dans les fermes maraîchères diversifiées, il a sa place à différentes époques de l’année, avec une demande bien précise en automne et en hiver, tandis que celle-ci reste marginale en été. Ces légumes s’intègrent également dans les cultures destinées à la vente directe. De plus, sa culture se conforme bien aux conditions pédoclimatiques belges.