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Un effet collatéral positif sur l’agriculture

Qui aborde l’agriculture s’intéresse aux sciences « BCBG », l’acronyme signifiant ici « Botanique-Chimie-Biologie-Génétique ». Le point commun entre ces quatre sciences, c’est l’ADN. Cet acronyme-là, tout le monde le connaît. Il n’est pas une série policière où l’on ne parle pas de trace d’ADN. Même notre bon roi Albert II en sait quelque chose…

Depuis Mendel, les sélectionneurs ont compris ce qu’est le génome et proposent de nouvelles variétés tous les ans. Avec leurs pinces à épiler et autres astuces techniques, ils croisent le pollen d’une plante avec une autre en espérant que le rejeton soit plus performant que la génération qui l’a précédé.

Depuis, les connaissances ont permis de décortiquer ce génome et d’identifier le moindre segment qui génère la plus petite propriété, notamment de défense contre les parasites.

L’ADN, c’est aussi le point...

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Pour qui? Pourquoi?

Voix de la terre Je ne sais pas vous, mais en ce qui me concerne, je ne sais toujours pas pour qui, ni pourquoi je voterai d’ici un petit mois. Sans doute suis-je un mauvais citoyen, de me sentir aussi peu concerné par la politique ? Et pourtant, je devrais ! L’agriculture est particulièrement tributaire des propositions présentées et débattues dans les hémicycles des parlementaires, des décisions prises dans les cabinets des ministres. Voter pour des gens compétents relève de la plus haute importance, sinon le premier branquignolle venu risque fort de prendre les rênes de nos destinées. Si tu ne viens pas à la politique, celle-ci viendra à toi, fatalement…
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